Vers une nouvelle politique de la route:
Nous sommes arrives a un point tournant dans la politique de la route.Suite a l’augmentation - totalement injustifie – du prix de l’essence, nous sommes maintenant confrontes par la grogne des automobilistes, buses, cyclistes, livreurs, motards et chauffeurs de taxis qui doivent partager les rues et souvent les trottoirs, de Paris. Ceci demontre l’egoisme de tous en ce qui concerne la route; chacun a raison.Il est evident que pour eviter le chaos de la circulation une entente et le respect d’autrui est necessaire entre les usagers. Tous les Gouvernements de l’Europe sont unanimes que notre facon d’utiliser les routes ne peut durer en tenant compte de leur saturation et le danger pour l’environnement que ceci engendre pour notre avenir. Il y a egalement un risque de voir accroitre des accidents causes par la cohabitation de la diversite de vehicules qui circulent sur nos routes – voitures, petites et puissantes, poids lourds, campers, caravans, camionettes, motos etc. tous confrontes par de plus en plus de lois. Est ce qu’il faut limiter la vitesse encore pour les voitures, les motards ou pour les poids lourds? Chacun a ces arguments pour ou contre. Les controles automatises sont devenus une source de revenue pour l’Etat en penalisant souvent des conducteurs pour les exces de vitesse qui ne depassent point 1 ou 5 kilometres au dela de la vitesse autorisee. Il ya une panoplie de signalisations sur les autoroutes qui obligent les conducteurs de faire plus d’attention aux panneaux que la route et de freiner et puis accelerer sans raison apparent, parfois au detriment de la securite.Si les gouvernements arretent de prendre les usagers de la route pour des vaches a lait et veulent mettre en place une vrai politique afin d’ameliorer les conditions et proteger l’environement il faut questionner la politique de privatiser des autoroutes. Les autoroutes a peage – surtout en France et en Italie - sont de plus en plus gerees par des societes multinationaux. Cette une tendance troublante lorsque les citoyens d’un pays doivent payer une entreprise etrangere pour rouler sur son propre territoire sur les routes pour lesquelles ils ont deja verse les impots. Etant donne que ces entreprises cherchent les benefices pour leurs actionnaires, les tarifs sont en constant progression sans justification.En Allemagne et en Autriche ou les autoroutes n’ont pas de peage, les avantages sont considerables. Le traffic est plus fluide et le temps d’un trajet plus vite grace aux nombreuses sorties qui permettent d’acceder ou quitter les autoroutes plus vite et plus facilement. Il est un fait que le freinage et l’attente devant les peages suivi par l’accelerationpour reprendre sa vitesse de croisiere engendrent une perte de l’energie enorme, surtout pour les poids lourds, qui calculent la perte en millions de litres d’essence ou de diesel gaspilles inutilement, sans penser de la pollution.Etant donne que les autoroutes etaient construites pour reduire le temps des trajets, a quoi sert rester prisonnier dans son vehicule et passer cinq a dix minutes, sinon plus, aux heures de point devant les peages. Les travaux et des accidents sont egalement responsable pour des delais et codes interminables car la manque des sorties empechent les usagers de quitter les autoroutes quand il le veulent. Lorsque l’usager ne peut pas terminer son voyage dans le temps et dans les conditions attendues ceci devrait justifier le remboursement ou une reduction du montant du peage, comme la SNCF lorsque les trains arrivent en retard. Mais l’automobiliste est contraint de toujours payer.Avec la necessite de rendre les routes plus fluides et secure il faudrait etudier serieusement l’eventualite d’enlever toutes les barrieres sur les autoroutes en Europe, d’augmenter le nombre de sorties et d’introduire une redevance payable par chaque proprietaire d’un vehicule pour financer les travaux et la securite routiere. Les vehicules etrangers devrait egalement etre soumis a cette redevance. Le coup de la vignette pourrait etre calcule selon la dimension et la puissance de chaque vehicule.Cette politique concernera surtout la France et l’Italie et d’une moindre mesure, l’Espagne. Les autoroutes a peage sont devenues saturees et le nombre de peages autour des grandes agglomerations – ou souvent le prix a payer, pour ceux qui ne possedent pas la telecarte, ne depasse pas un ou deux euros a la fois - causent les emboutillages et des delais qui menacent a la fois la sante des automobilistes et l’environnement.Vu la reduction de personnel, remplace par les peages automatiques, une telle politique ne devrait pas causer une incidence majeur sur l’emploi. Au contraire, elle pourait renverser la tendance du depeuplement des villages et petites villes de compagne qui deviendraient plus accessible. Tant pis pour les societes qui gerent les autoroutes qui, vu les engagements prises, seraient compensees. Mais quelle joie pour tous les usagers de la route de retrouver la liberte perdue.